[ÉTAPE 4]
Les Champagnes Lanson

2017-11-09T16:49:58+01:00

Lanson fait sauter les bouchons

Présente pour souligner les moments d’exception, la marque champenoise Lanson s’est associée à la première édition du Gazelles And Men Rally. Outre le fait qu’elle sponsorise le séduisant Paul Belmondo, elle sera là pour célèbrer l’expérience unique que réservent les dunes de Merzouga : son Brut sans année attend les concurrents à leur retour. Une demi-bouteille sera glissée dans les bagages des équipages au matin de l’épreuve marathon : à déboucher et à déguster sous les étoiles, dans la nuit marocaine, en plein milieu du désert. Enfin, le black label, vif et fruité, est tout désigné pour l’apéritif tandis que la délicatesse du rosé s’accordera au dessert pour finir avec élégance le dîner de la cérémonie de remise des Prix à Marrakech.

[ÉTAPE 4]
Les Champagnes Lanson
2017-11-09T16:49:58+01:00

[ÉTAPE 4]
La mécanique

2017-11-08T17:28:42+01:00

Une assistance mécanique de tous les instants

Pour parer aux aléas de la compétition, le Gazelles And Men Rally a vu les choses en grand. Non seulement, il est l’un des très rares Rallye a mutualiser la mécanique de manière à ce que chaque équipage soit équitablement pris en charge mais le nombre des mécanos permet des délais d’interventions rapides : 6 d’entre eux sont répartis sur le terrain tandis que 10 sont au bivouac : ces derniers réceptionnent chaque soir les véhicules. En cas de problème, les équipages signalent sur le carnet de suivi les défaillances mécaniques éventuelles.
Toute la nuit, les mécanos s’affairent pour qu’au matin, les participants puissent repartir sur le terrain en toute sécurité. De plus, afin d’optimiser les ressources, les 3 voitures d’assistance médicale sont conduites par des pilotes-mécaniciens, ce qui double les compétences des véhicules d’intervention.
Partenaire de l’évènement, Euro4x4parts.com, création d’une passionnée de tout terrain, Françoise Graciet-Hollender, et d’un professionnel de la mécanique, Georges Graciet, est toujours présent pour fournir les pièces détachées et accessoires (parmi plus de 50000 références), à nos pilotes.

[ÉTAPE 4]
La mécanique
2017-11-08T17:28:42+01:00

[ÉTAPE 4]
L’interview du Directeur Sportif

2017-11-08T12:27:41+01:00

Gazelles And Men Rally / Rallye Aïcha des Gazelles,  quelles différences ?
L’interview du directeur sportif, Ludovic Taché

Le Rallye Aïcha des Gazelles à lieu en mars, le Gazelles And Men Rally au début de l’hiver, quel impact sur la course ?
D’abord les jours sont beaucoup plus courts : en ce moment, le soleil se lève en 6h30 et se couche à 17h30. C’est un crépuscule qui dure peu, en plus. Nous avons évidemment été obligés de tenir compte de cette donnée.

De quelle manière avez vous donc adapté le Gazelles And Men Rally à la saison ?
Par des distances d’étapes plus courtes. On tourne autour de 100 km par jour, au lieu de 130.

Êtes vous surpris par le rythme de la course ?
Si l’on considère la météo, non : Pour cette première édition,, nous bénéficions en plus de conditions météo exceptionnelles : pas de vent du tout, une visibilité exceptionnelle de plus de 40 km, et des températures agréables, beaucoup plus supportables que pour les Gazelles. Un temps normal de novembre, c’est plutôt une visibilité moindre, du vent, du froid.

Comment considérez vous le degré d’engagement des concurrents?
Il est clair qu’il est plus mesuré que pour le Rallye Aïcha des Gazelles. Nous le voyons en considérant les écarts kilométriques par rapport au parcours idéal, qui sont plus importants. Cela signifie que la prise de risque des équipages est moindre : ils préfèrent assurer en contournant les difficultés : au lieu de passer deux heures à affronter un relief pour passer au cap, ils préfèrent effectuer plus de distance et rouler.

Cela vous surprend-t-il ?
Non. Il n’y a pas de binôme” tête d’affiche” pour créer l’émulation, puisque par définition, c’est une première édition. Mais ca viendra ! C’est un concept totalement nouveau, qui n’existait pas pour les hommes ou les équipages mixtes. Ils expérimentent ce rallye et le font avec mesure dans un domaine qu’ils connaissent moins : une navigation exclusivement à la boussole et à la carte.

[ÉTAPE 4]
L’interview du Directeur Sportif
2017-11-08T12:27:41+01:00

[ÉTAPE 4]
Au briefing ce matin

2017-11-09T10:59:22+01:00

Au briefing ce matin

7h et 60 km. C’est long pour 60 km ? Non, il s’agit de la grande étape de Merzouga et de ses dunes. Les heures de fermeture des balises sont assez cadencées pour faire avancer tous les équipages de manière homogène.
Les équipages ont le choix entre deux parcours :
Le X, qui équivaut à des pistes de ski de niveau bleu, puis noire puis rouge
. Difficile, il récompense ceux qui prennent le plus de risque.
Le Y, lui correspond à une piste bleue, verte et rouge. Il pénalise d’entrée de jeu ceux qui le choisiront avec 150 points de pénalités, d’entrée de jeu.Les concurrents auront un peu de sable pour se tester jusqu’à la balise 2, à partir de laquelle il devront faire un choix irréversible.

Ludovic Taché, le directeur sportif rappelle les règles élémentaires de conduite sur sable : pression des pneus, vitesse courte ou longue, manière de prendre les dunes, de rouler sur les crêtes…A la sortie du briefing, les concurrents sont incertains : c’est à la balise 2 que l’on saura qui fait le X, qui fait le Y.

Ce matin, [team team=”109″ mot=”l’équipage”], contraint d’abandonner pour raisons personnelles, ne prendra pas le départ de l’étape 4. L’équipage nous rejoindra directement à Marrakech pour la remise des prix. L’organisation félicite le courage exemplaire de Muriel Lourdel et de son binôme/kiné Raphaël Dappe. Ils ont prouvé à eux 2 leur détermination et leur soif de se dépasser sur un tel évènement qui sollicite autant le physique que le mental.

[ÉTAPE 4]
Au briefing ce matin
2017-11-09T10:59:22+01:00

[ÉTAPE 3]
Côté Sportif

2017-11-08T00:24:33+01:00

Copie conforme au général provisoire

Ça n’arrive pas souvent : les pièges du terrain et les risques de casse mécanique rebattent chaque jours les cartes. Heureux un jour, malheureux le lendemain. Pourtant, les 6 premiers équipages du général ont conservé chacun leur rang. Pour eux, il n’y a ni perdant, ni gagnant, mais une solide volonté de conforter son résultat et au minimum de ne céder aucun pouce du terrain.

Le favori, [team team=”105″] se donne d’ailleurs un peu plus de marge de manœuvre en regagnant ce soir une avance plus confortable d’1,27 km sur le tandem qui lui mordait hier les mollets à 400 mètres près, [team team=”117″]. Nous avons l’impression de nous répéter lorsque nous évoquons [team team=”107″], qui lui, ne cède absolument rien à celui qui le précède avec encore une fois, un superbe parcours et des choix judicieux : il était talonné par [team team=”102″], de 500 mètres et ce soir, l’écart reste le même. Célia le Borgne, une habituée du Rallye Aïcha des Gazelles expliquait ce soir qu’elle ne voulait pas savoir à quel rang du classement elle était pour profiter au mieux de sa course “et ne pas s’ajouter une pression inutile“. Il n’en reste pas moins qu’elle est une compétitrice avérée et n’escompte pas laisser sa place sur le podium.

Une étape exaltante

Pour l’étape du jour, on soulignera la performance [team team=”138″ mot=”l’équipage”] qui a spectaculairement remonté le classement journalier : de 11ème, il décroche la première place avec un parcours qui épousait au plus près le tracé idéal. Sur 117 km, elle n’a effectué que 4,46 km de plus, soit 70 mètres de moins que le fameux [team team=”105″ mot=”équipage”].

Les pénalités de ce soir, deux fois moins élevées qu’hier sur une distance pourtant légèrement plus longue avèrent la relative facilité de l’étape. Mais cette dernière aura néanmoins anéanti l’espoir de se classer dans le top ten chez [team team=”104″]. Il a dû faire appel à l’assistance mécanique – ce sera le seul, aujourd’hui- pour être détanké dans les herbes à chameau, durant la seconde moitié de son parcours. Une bosse qui le fait dégringoler à la dernière place du classement général provisoire. C‘est finalement Karine Guioc, équipage 139 qui résume bien l’impression de la course : “Quand tu n’as pas de réussite, c’est un calvaire. Quand tu en as, même si tu n’as pas atteint tout tes objectifs, c’est extrêmement gratifiant.“Aujourd’hui fut très gratifiant pour tous les concurrents dans la mesure ou personne n’a vraiment démérité et à bien géré sa course, à hauteur de son expérience.

Chez les SSV, on a plié l’étape en un temps record. [team team=”23″] a regagné le bivouac vers 14h. Au général, les Capifrance continuent de montrer toute la niaque d’un bon agent immobilier. [team team=”24″] est toujours premier devant [team team=”22″], pourtant très aguerri, avec une bonne connaissance du terrain. Ce matin, ce dernier ne cachait pas non plus son appétit “On vient clairement pour gagner. On roule souvent en SSV, mais, ici, il faut se remettre dans le bain, notamment pour les dunes. Il y a toujours un petit temps de rodage” témoignait Yves aujourd’hui. Manifestement, c’est fait : même si [team team=”24″] est toujours en tête du général, c’est le duo Prune Salti / Yves Marsanne qui les a devancé d’exactement 1 km tout rond. Un duel serré depuis le départ qui conserve le suspens intact.

[ÉTAPE 3]
Côté Sportif
2017-11-08T00:24:33+01:00

[ÉTAPE 3]
Côté Aventure

2017-11-07T21:14:43+01:00

Le grand kiff

C’était “subliiiiime. Kareen Guiock n’était pourtant pas dans son assiette aujourd’hui. Un sentiment partagé par les concurrents qui usent de tous les superlatifs, aux différentes balises. Il faut dire que l’étape a déroulé des oueds bosselés aux herbes vertes, des murailles de roche rosie par la lumière, bordées de langues de terres kaki et brunes de l’hamada du Guir. Et puis bien sûr, les fantastiques dunes de l’Erg Chebbi, qui figureront au programme demain. Un paysage digne des plus belles affiches de l’Office National Marocain du Tourisme.

Plein les yeux !

C’est cool aujourd’hui” s’exclame Cédric Miscioscia, de [team team=”138″ mot=”la team”], “j’ai vraiment kiffé“. De fait, l’étape n’était pas difficile en terme de navigation. Pour preuve, à 17 heures, plus de la moitié des équipages avait regagné le bivouac : sur toute sa longueur, il y avait des reliefs aisément identifiables comme l’Aferdou, à la frontière algérienne, ou les grandes dunes de Merzouga.

Le terrain aura offert toute les opportunités de parfaire son niveau de franchissement : du sable entre les balises 1 et 2, avec la traversée de l’erg Moulay Aamar d’ouest en est. C’est d’ailleurs là que les premiers tankages ont commencé. [team team=”100″ mot=”La team”] sort ses plaques de désensablement au bout de 150 mètres d’avancée dans le sable. Il ne sera pas le seul, d’autant qu’ensuite, les herbes à chameau réservent bien des pièges : il faut pelleter mais surtout s’entraider pour gagner du temps.

[team team=”116″ mot=”L’équipage”], sera ainsi secouru par le 138 qui court pourtant pour le podium “ça nous a fait faire 400 mètres de plus mais bon… c’est ca l’esprit Gazelle“. Mais la suite est une partie de plaisir : un vrai tapis roulant, droit au sud pour aller chercher la 4ème balise : un sol de cailloutis noir, homogène. Puis la remontée vers le nord, en direction de la 5ème était une succession de colline au dos rond. Pour pimenter ce retour, les équipages ont traversé à nouveau l’oued du matin, dans de solides herbes à chameau. Du moins ceux qui l’ont tenté, comme [team team=”110″ mot=”la team”], [team team=”105″ mot=”la team”], [team team=”107″ mot=”le binôme du”]. Mais des équipages, ceux qui ont tenté l’aventure pour le plaisir sans jouer forcément la gagne ont pris la piste pour rentrer au bivouac avant la nuit et épargner leur véhicule. Surtout, l’épreuve de demain est dans tous les esprits : les grandes dunes de Merzouga, 100% sable, pour prendre de la hauteur et vivre des émotions fortes…dont celle de devoir pelleter sous le soleil.

[ÉTAPE 3]
Côté Aventure
2017-11-07T21:14:43+01:00

[ÉTAPE 3]
Les Eaux Minérales d’Oulmès

2017-11-07T12:07:19+01:00

L’eau, un facteur important contre la fatigue

Même si les températures ont tendance à chuter, elles peuvent atteindre jusqu’à 30 ° comme ce fut le cas cette semaine. L’hydratation est capitale et chaque briefing rappelle aux concurrents comme aux organisateurs de boire, boire, boire. Les eaux minérales d’Oulmès, partenaire du Gazelles And Men Rally, fournissent chaque jour 9 litres d’eau par équipage. Chaque bouteille est récupérée. Il n’est pas question qu’elle reste dans le désert. Elle sera ensuite recyclée.

[ÉTAPE 3]
Les Eaux Minérales d’Oulmès
2017-11-07T12:07:19+01:00

[ÉTAPE 3]
Au briefing ce matin

2017-11-07T08:44:59+01:00

Au briefing ce matin…

Dominique Serra rappelle ce matin quelques règles incontournables sur les évènements Maïenga : parmi elles, le tri sélectif de tous les déchets. Ludovic Taché, lui, met l’accent en préambule, sur le respect des cultures que les participants seront amenés à longer : en cette période de l’année, elles ne sont pas toujours visibles, faute d’eau mais elles sont toutes indiquées sur les cartes. Pour le menu du jour, si l’épreuve est plus longue en kilomètres qu’hier, elle est aussi plus roulante. Attention, néanmoins, la moindre ravine peut se révéler percutante en cas de trop grande vitesse. Pour la partie navigation, pas si facile lorsqu’il faudra descendre au sud. Les repères, Amada du Guir et dunes de l’erg Chebbi sont à l’est et à l’ouest. Enfin, il y aura un peu de sable aussi. De quoi s’amuser, encore !

[ÉTAPE 3]
Au briefing ce matin
2017-11-07T08:44:59+01:00

[ÉTAPE 2]
Côté Sportif

2017-11-06T23:46:12+01:00

Un cran au dessus !

Spectaculaire remontée de [team team=”117″ mot=”la team”] aujourd’hui, qui a effectué un superbe parcours. 6ème au classement hier, il se hisse directement au premier rang aujourd’hui du classement provisoire d’étape. Lui qui marquait 1,64 km d’écart hier d’avec le favori, [team team=”105″ mot=”l’équipage”], a littéralement avalé 2,82 km aujourd’hui sur le parcours idéal, ce qui le place avec un peu plus d’1 km d’avance sur le tandem Dot- Lombard. Il faut tout de même préciser que Séverine Arnaud compte 8 participations aux Rallye Aïcha des Gazelles. Ces derniers monopolisent d’ailleurs au provisoire de cette étape, plus longue, plus difficile, le trio de tête.
L’expérience a clairement payé. La navigation n’était pas très difficile, mais les caps étaient plus longs, le risque était plus grand de commettre des déports, sans compter un terrain plus difficile, avec l’oued Rheiris, les herbes à chameaux, les terrains escarpés.

Cependant, au classement général provisoire, certains novices n’ont pas trop perdu de terrain : on continue de saluer la performance de [team team=”107″ mot=”l’équipage”], qui accroche une 3ème place, avec 1 km d’écart d’avec la seconde place.

Des novices qui s’accrochent

Plus bas dans le tableau, c’est plus bousculé : les appels à l’assistance mécanique du 110 et du 116 ont évidemment pesé lourd. Ils dégringolent aux derniers rangs, au grand dépit de Martin de [team team=”110″ mot=”la team”] qui s’est pris au jeu.

La 5ème balise ratée par le 111, 115 et le 121 qui coûte 60 km de pénalités n’a pas contribué a leur performance du jour.
Ils ont été nombreux, fatigue et chaleur aidant, à commettre des erreurs de conduite ou de navigation dans les passages ambiguës : ce fut le cas dans l’oued Rheiris et à l’approche de la balise 5. Hélène Grandheury  de [team team=”138″ mot=”l’équipage”] pourtant experte au Rallye Aïcha des Gazelles s’y est un peu cassé les dents, elle aussi.

Chez les SSV, [team team=”24″] conforte ses performances et s’assure encore la première place au temporaire et au général. Une belle gestion de course. [team team=”23″ mot=”La team”] aussi… dernier hier, il l’est encore aujourd’hui et ce d’autant plus qu’il a dû faire appel à l’assistance mécanique pour se sortir d’un devers.

Demain, il faudra compter avec le même niveau de difficultés avec une gestion du temps qui devra être plus serrée encore : on y comptera le même nombre de balises mais avec un kilométrage plus long qu’aujourd’hui.

[ÉTAPE 2]
Côté Sportif
2017-11-06T23:46:12+01:00

[ÉTAPE 2]
Côté Aventure

2017-11-07T13:26:45+01:00

Un vrai goût d’aventure

L’étape d’hier était bel et bien un apéritif. Les mets plus consistants ont été servis sur un plateau aux concurrents. Tout a bien commencé pour tout le monde : un passage devant le M’Douara, célèbre ancienne prison épousant le relief naturel qui figure dans le film la Momie : au petit matin, lumière sublime, soulignant les reliefs et aucune difficultés pour rejoindre la première balise. Là, chacun s’affaire à poser ses points sur les cartes dans les positions les plus diverses : capot, à genoux sur le sol, à l’arrière des 4×4… [team team=”119″], justement. C’est là que ça se passe pour un café préparé par Arnaud, tandis que Christelle, déjà Gazelle, s’affaire sur ses cartes.

Où l’art de franchir les obstacles

Chez [team team=”115″], c’est toujours la même exubérance : “Mais je te dis que le Nord est là” assène Leïla à grands gestes tandis que Saad, faussement indigné lui rétorque “Non mais tu te crois sur un défilé de mode ou quoi ? Laisse moi faire mon travail“. Un sketch matinal. [team team=”25″ mot=”La team”], arrive à la balise à son tour, heureux à la perspective de vivre une nouvelle journée de défiOn reste concentré, on est absorbés par la course mais franchement, tu ne peux pas t’empêcher de faire Waoooou ! tellement la beauté des paysages te saute au visage“.

Déjà, des lignes de conduite se dessinent, dictées par les résultats d’hier. [team team=”24″ mot=”L’équipage”] par exemple, très surpris de sa première place au provisoire, compte bien conforter la performance. Stéphane désigne sa coéquipière du pouce “Elle a toujours raison. Je lui fais confiance pour nous mener au cap jusqu’à ce qu’on ne puisse plus avancer“. Sous ses allures nonchalantes, Laurent Maistret (team 110) escompte bien progresser encore : “Il faut que l’on se fasse confiance parce qu’hier, on avait tendance à être influencés par les traces. Ce matin, nous avons été dans les premiers à partir. Donc un sol vierge de traces, on a adoré ça : on va chercher le km au plus près et on prendra plus de risques aujourd’hui“. Sauf que…

La journée était longue et imposait de nombreux passages trialisants. Entre les herbes à chameaux, une galère pour les pilotes les plus chevronnés, les reliefs que les plus risque-tout auront décidé de traverser plutôt que de contourner, les passes montagneuses difficiles à trouver, le niveau de la course est monté d’un cran, après la balise 2. Une occasion de se porter mutuellement assistance comme [team team=”120″] et [team team=”104″], qui se sont dépêtrés des herbes à chameaux grâce à leurs sangles respectives. Un service pour un autre “Ça fera deux bières ce soir au bivouac !“.

C’est [team team=”116″ mot=”le duo du”] qui inaugure l’appel à l’assistance du Rallye et les 200 km de pénalités assortis. Une petite heure plus tard, nouveau tankage : cette fois, [team team=”122″ mot=”l’équipage”] l’aide à s’en sortir avec les sangles. L’équipage est tendu “Ça a super bien commencé et là, on galère” commente Krystina, sous le soleil qui tape fort en fin de matinée. Elle et son mari, gendarmes dans le Pas de Calais ne visaient certes pas la compétition mais plutôt la découverte et l’aventure. Ils sont servis. [team team=”110″ mot=”L’équipage”] sera lui aussi obligé de se faire aider par l’assistance mécanique, dans les herbes à chameau que, décidément, personne n’a beaucoup goûté.

Nous laissons la parole à Paul Belmondo, le parrain de ce premier GAM (Gazelles And Men) et son équipier Guy Leneveu, de [team team=”112″] pour commenter cette étape à laquelle il a participé aujourd’hui. Les deux se connaissent bien pour avoir été équipiers 4 fois en rallye raid (2 Dakar, 2 rallye de Tunisie) : “On a l’habitude du road book ou on peut toujours se rattraper. On est allés un peu vite, du coup on a jardiné deux fois. Demain, on prendra plus le temps de nous poser pour réfléchir aux options et gagner en précision. Mais c’était très intéressant“.

[ÉTAPE 2]
Côté Aventure
2017-11-07T13:26:45+01:00
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